50 Years EFNS - Team France
C’est en 1968 que Hockenjos Wolf invita les collègues skieurs du Massif Vosgien à venir participer aux 1er EFNS organisés à Todnau. Parmi eux Raymond Martini, bûcherons du Hohwald et excellent skieur de fond, apprécia tellement la formule qu’il participa à pratiquement toutes les éditions depuis et s’entraine sérieusement pour la 50ème à Antholz. Des débuts avec des épreuves originales comme l’épreuve de coupe d’une perche de bois à la hache.
Très rapidement l’Office National de Forêts compris l’intérêt pour son personnel de la pratique du ski de fond et organisa sur le modèle Allemand des compétitions de ski de fond au niveau régional, national et international avec les EFNS. L’organisation de la semaine avec les excursions et conférences forestières fut pour de nombreux forestiers une extraordinaire ouverture d’esprit au monde forestier européen, souvent une excellente formation professionnelle et une contribution certaine à l’esprit européen encore bien fragile après ces années de guerre.
En 1988 la France sous l’impulsion de Robert Petit Jean et Etienne Zahnd organisèrent les EFNS à LAMOURA dans le Massif du Jura, année sans neige dans pratiquement toute l’Europe, sauf sur les hauteurs des forêts du Massacre, belle réussite malgré tout et une cérémonie de clôture inoubliable.
Robert Petitjean proposa la candidature de la France une 2ème fois pour 2004 à Pralognan dans le Massif alpin, avec beaucoup de réussite, un enneigement exceptionnel, l’introduction d’une vraie course en skating et l’ensemble des délégations logées directement sur le site.
Comme pour la plupart des autres délégations européennes, l’Office National de Forêts apporta de moins en moins de soutien à son personnel pour participer aux EFNS. La participation devient alors financièrement difficile, particulièrement pour les forestiers les plus jeunes.
Le nombre de participant française est alors très variable en fonction des années, malgré l’intérêt, les amitiés qui se nouent, la découverte de l’originalité des EFNS avec ses 3 temps forts : les excursions, les compétitions et depuis quelques années, la fête de nations.
La France espère accueillir bientôt des prochains EFNS, les sites ne manquent pas pour une parfaite organisation, il reste à convaincre les acteurs locaux et nationaux, ce qui est souvent un peu long en France.
Très rapidement l’Office National de Forêts compris l’intérêt pour son personnel de la pratique du ski de fond et organisa sur le modèle Allemand des compétitions de ski de fond au niveau régional, national et international avec les EFNS. L’organisation de la semaine avec les excursions et conférences forestières fut pour de nombreux forestiers une extraordinaire ouverture d’esprit au monde forestier européen, souvent une excellente formation professionnelle et une contribution certaine à l’esprit européen encore bien fragile après ces années de guerre.
En 1988 la France sous l’impulsion de Robert Petit Jean et Etienne Zahnd organisèrent les EFNS à LAMOURA dans le Massif du Jura, année sans neige dans pratiquement toute l’Europe, sauf sur les hauteurs des forêts du Massacre, belle réussite malgré tout et une cérémonie de clôture inoubliable.
Robert Petitjean proposa la candidature de la France une 2ème fois pour 2004 à Pralognan dans le Massif alpin, avec beaucoup de réussite, un enneigement exceptionnel, l’introduction d’une vraie course en skating et l’ensemble des délégations logées directement sur le site.
Comme pour la plupart des autres délégations européennes, l’Office National de Forêts apporta de moins en moins de soutien à son personnel pour participer aux EFNS. La participation devient alors financièrement difficile, particulièrement pour les forestiers les plus jeunes.
Le nombre de participant française est alors très variable en fonction des années, malgré l’intérêt, les amitiés qui se nouent, la découverte de l’originalité des EFNS avec ses 3 temps forts : les excursions, les compétitions et depuis quelques années, la fête de nations.
La France espère accueillir bientôt des prochains EFNS, les sites ne manquent pas pour une parfaite organisation, il reste à convaincre les acteurs locaux et nationaux, ce qui est souvent un peu long en France.